Benoit Jaillet – Atelier la Grande Ourse

À l'ombre
de la grande
ourse

Nous aurons toujours besoin d’espaces, de nuits étoilées, de forêts et de rivières sauvages, d’horizons infinis pour fertiliser notre imaginaire et garder un lien sensible avec la planète…

À l'ombre de la grande ourse

Nous aurons toujours besoin d’espaces, de nuits étoilées, de forêts et de rivières sauvages, d’horizons infinis pour fertiliser notre imaginaire et garder un lien sensible avec la planète…

Une nuit sur terre 2

L’Art pour faire exister et reconnaître le besoin vital d’imaginaire des espaces naturels

Un projet artistique visant à créer, à favoriser et à diffuser la notion d’imaginaire des espaces naturels comme éléments essentiels de nos besoins contemporains.

L’Art que j’aime parle d’un contact spirituel avec la Nature, nous faisant percevoir une réalité qui nous dépasse, nous enrichit et nous élève.

Une invitation aux rêves, à se reconnecter aux mythes et à notre part de sauvage et d’infini.

Des sculptures déposées de façon permanente ou temporaire dans des lieux choisis, accessibles ou non, et donnant lieu à des images, des performances artistiques ou des vidéos partagées sur les réseaux sociaux.

Où ?

Au coeur de parcs, jardins ou domaines intimes ou publics, forêts majestueuses ou mystérieuses, ou tout lieu atypique où le projet peut s’inviter à se (con-)fondre avec la Nature.

Une volonté d’ouverture et de partage aux photographes, structures, organismes, partageant et reconnaissant ce besoin immatériel comme levier d’action, d’expression et de développement.

Vous souhaitez participer au projet ?

Accueillir une sculpture, une exposition, en devenir un relais ou, vous aussi, vous adhérez à ce besoin de poésie comme partie de notre avenir et souhaitez y contribuer en devenant partenaire…

Le cri de cent corbeaux

Une invitation à changer le regard sur les corbeaux et le lieu de nature choisi pour leur installation et ensemencer l'imaginaire.

Cent oiseaux en bois posés sur des tiges métalliques (ou sur des socles en cas d'installation intérieures)
Cent oiseaux en bois posés sur des tiges métalliques (ou sur des socles en cas d'installation intérieures)

Un imaginaire partagé en voyage

L’imaginaire exporté à travers la mise en situation des corbeaux lors de voyages; les miens mais aussi ceux des personnes qui se sont senties emportées par le projet et qui souhaitent y contribuer pour en inventer une géographie poétique en sensible…

Une installation à voir, à partager, qui circule dans le monde entier et qui continue de voyager, avec pour but de connecter et de tisser un imaginaire universel. 

Pérou

Suivez les traces du corbeaux

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